mardi 26 novembre 2013

Aurélie Godet / Obama


La prochaine séance du GRER, vendredi prochain 29 novembre, permettra d'entendre Aurélie GODET, Maître de conférences à l'UFR EILA de l'université Paris Diderot. Elle interviendra sur :

"Biopolitics made more palatable: lessons from the Obama kitchen garden"
(intervention en français)

mardi 5 novembre 2013

Christine Larrazet / Blacks in Time


La prochaine séance du GRER aura lieu ce vendredi 8 novembre. Nous pourrons entendre Christine Larrazet, Maître de conférences à l’université Bordeaux Segalen, chercheuse au centre Émile Durkheim (UMR CNRS 5116). Son intervention s'intitulera :

Blacks in Time. Le cercle distance-médias-distance
 
Attention, le lieu sera la salle 115, au premier étage d'Olympe de Gouges (accès libre).
 
Au plaisir de vous retrouver vendredi.

lundi 9 septembre 2013

Missions et colonialisme : le Lesotho à l'heure du bicentenaire d'Eugène Casalis


Sous la direction de Marie-Claude Mosimann-Barbier et Michel Prum
246 pages
ISBN : 978-2-343-01289-6
24 €

Avec la fin du XXe siècle, l’Occident est entré dans un temps de repentance postcoloniale. Parmi les méfaits de la colonisation est dénoncée l’action missionnaire souvent perçue comme ouvrant la voie à la colonisation puis s’en faisant complice. Le missionnaire passait pour l’agent du colonisateur et en partageait l’opprobre. Cette perception négative mérite d’être nuancée surtout lorsque le missionnaire était originaire de pays n’ayant pas d’enjeu économique ou politique dans la région de mission. C’est le cas d’Eugène Casalis, missionnaire protestant béarnais envoyé en Afrique australe, dont le nom est indissolublement lié à l’édification du Lesotho et dont l’œuvre s’inscrit dans une démarche purement apostolique.
2012, année du bicentenaire de sa naissance, fut marquée par un grand colloque international qui se tint en octobre au Lesotho sur le thème de «Missions et colonialisme». Son propos était d’évaluer le rôle des missions européennes en Afrique avant, pendant et après la colonisation et, plus largement, de réfléchir aux liens entre religion et colonisation, et religion et « race ».

Marie-Claude Mosimann-Barbier est Maître de conférences honoraire de l’École Normale Supérieure de Cachan.
Michel Prum est Professeur à l’université Paris Diderot, Sorbonne Paris Cité.

jeudi 11 juillet 2013

« L'identité nationale » à l'épreuve des identités culturelles


Vient de paraître :

Préface d' Yves Charles Zarka.
Paris, L'Harmattan, coll. "Racisme et Eugénisme".
ISBN : 978-2-343-01385-5.
230 p.  23 €

Les débats sur « l'identité nationale » en France, en Allemagne et au Royaume-Uni, au cours des années 2000, partant d'une volonté politique affirmée de redéfinir ce que sont les « valeurs de la nation », ont suscité de nombreuses controverses  dans divers domaines, comme le présent ouvrage entreprend de le relater. Les universitaires qui livrent ici leurs contributions remettent tout d'abord en question la définition de « l'identité nationale » telle qu'elle a pu être donnée par les gouvernements français, allemand et britannique et tentent de la redéfinir en abandonnant la référence à une identité unique pour lui préférer le recours à des identités plurielles, et en questionnant le bien-fondé des valeurs ou critères choisis pour déterminer les contours de ces identités. Ils se penchent ensuite sur les représentations de l'identité nationale dans les arts (littérature, cinéma), les programmes européens (tel que Comenius) ou les conflits (africains notamment). Ils étudient les politiques visant à revivifier les « identités nationales» (notamment par l'institution de journées nationales en Angleterre ou en Écosse, ou encore par la mise en place de procédures nouvelles d'accès à la citoyenneté). Ils analysent enfin les rapports à l'identité nationale que certains groupes minoritaires peuvent entretenir. 

lundi 1 juillet 2013

Identité et diversité : créations, discours, représentations


Vient de paraître aux PULM
Ouvrage coordonné par Anne-Marie Motard
Collection « Horizons anglophones », série Politique et sociétés

La réflexion sur la définition d’une « identité », qu’elle soit nationale, groupale ou communautaire, et, en contrepoint, les difficultés engendrées par la reconnaissance de multiples formes 
de « diversité » ont pris une place centrale dans le débat public de la plupart des pays européens au cours des dernières années. Ces questions font par ailleurs l’objet d’un nombre croissant de créations artistiques, particulièrement révélatrices des tensions inhérentes au double mouvement d’affirmation et de différenciation identitaires. 

2013, format 16 x 24, 242 p., ISBN 978-2-36781-007-2, 22 €

mardi 18 juin 2013

Mythes et légendes des Indiens navajos


Vient de paraître, Mythes et légendes des Indiens navajos, chez L'Harmattan, de Marie-Claude FELTES-STRIGLER (18 €, 192 pages)
La mythologie navajo est peuplée de créatures animales ou humaines qui changent de nature au gré des circonstances, où le naturel et surnaturel n'ont pas de limites bien définies. Leurs aventures expliquent comment le monde dans lequel nous vivions a été créé et pourquoi il est tel qu'il est. Ces histoires sont transmises oralement, donc varient au fil du temps et selon les narrateurs.

lundi 10 juin 2013

Geetha Ganapathy-Doré / Ramasamy


La dernière séance de cette quinzième année du GRER aura lieu ce vendredi 14 juin. Nous pourrons entendre Geetha Ganapathy-Doré, Maître de conférences HDR à l’université Paris Nord. Elle interviendra sur :
 
E.V. Ramasamy et son Mouvement du respect du soi comme acte de résistance contre la discrimination castéiste
 
Au plaisir de vous retrouver vendredi.

jeudi 6 juin 2013

L’engagement des hommes pour l’égalité des sexes, xive-xxie siècle

Nous vous signalons la publication de L’engagement des hommes pour l’égalité des sexes, xive-xxie siècle, sous la dir. de Florence Rochefort & Éliane Viennot, dans lequel Michel Prum signe un article intitulé "John Stuart Mill et William Thompson, deux grandes figures du féminisme britannique au xixe siècle".
En librairie à partir du 13 juin (distribution SODIS) ; également disponible directement chez l'éditeur (https://publications.univ-st-etienne.fr/).

mercredi 29 mai 2013

Thierry Vircoulon / stéréotypes Kenya


La prochaine et avant-dernière séance du GRER aura lieu vendredi prochain, 31 mai. Nous pourrons entendre Thierry Vircoulon, directeur du projet Afrique centrale à l'International Crisis Group et chercheur associé à l'IFRI, actuellement en poste à Nairobi (Kenya). Il interviendra sur :
 
Ethnicité négative : les stéréotypes ethniques au Kenya
 
Au plaisir de vous retrouver vendredi.

jeudi 18 avril 2013

Liliane Perez / Histoire des juifs et economic turn


La prochaine séance du GRER aura lieu demain vendredi 19 avril. Nous pourrons entendre Liliane Pérez, Professeure à l'université de Paris Diderot. Elle interviendra sur :

Histoire des juifs et economic turn  dans l'historiographie anglaise. Le cas de la Révolution industrielle

Au plaisir de vous y retrouver ! 

vendredi 12 avril 2013

This American Life - David Wilkins

Vous trouverez ci-dessous un lien vers le programme radio "This American Life" du 29 mars 2013, portant sur "les tribus", qui inclut notamment une partie sur le phénomène de "disenrollement" parmi la tribu amérindienne des "Chukchansi" en Californie. David Wilkins, qui est intervenu au GRER le 22 mars, est interviewé. 

mardi 9 avril 2013

Women and the Great War, The Path to Indecency?

La journée d'études annuelle organisée conjointement par la SAGEF et le GRER aura lieu ce vendredi 12 avril salle 702, bâtiment Olympe de Gouges.
En voici (ci-dessous) le programme.
Au plaisir de vous y retrouver.
Florence Binard et Michel Prum
Women and the Great War, The Path to Indecency?

9h30 -10h00 Accueil

10h00 -11h00 Keynote Speaker: Pr Laura Doan (Université de Manchester, Angleterre) « 'Muscular Femininity': The Amazon and the Public during the First World War »

11h-12h Dr Claire Delahaye (Université de Tours) « Aux armes, citoyennes! Soldates et organisations paramilitaires pendant la Grande Guerre »

12h-14h  Déjeuner

14h-15h  Dr Florence Binard (Université Paris-Diderot)  « The 'War-working type' of 'woman' and 'race degeneration' in inter-war Britain »

15h-16h Dr John Mullen (Université Paris Est-Créteil) « Les femmes dans le music-hall britannique durant la Grande Guerre 1914-1918 »

16h-17h
Dr Marc Calvini (Université Aix-Marseille)« Identifying Feminism in the Context of Total War »

mardi 19 mars 2013

Wilkins / American Indians

La prochaine séance du GRER aura lieu vendredi prochain 22 mars . Nous pourrons entendre David E. WILKINS, Professeur à l'université du Minnesota (McKnight Presidential Professorship in American Indian Studies), qui interviendra sur :

The Cobell Settlement: An Accounting Coup

Cette séance se déroulera en anglais.
Au plaisir de vous retrouver vendredi.
 

vendredi 1 mars 2013

Imaginaire des peuples: reconstructions identitaires après la Première Guerre mondiale

APPEL A COMMUNICATION: JOURNEE D'ETUDE
Vendredi 18 OCTOBRE 2013
organisée par :

Le CERCLL-LESCLAP Linguistique et Sociolinguistique: Contacts, Lexiques, Appropriations, Politiques) et le laboratoire CORPUS (Conflits, représentations et dialogues dans l’univers anglo-saxon)
UNIVERSITE DE PICARDIE – JULES VERNE

La Première Guerre mondiale a bouleversé le système de croyance et de valeurs du monde occidental, mettant en lumière le « malaise dans la culture » grandissant. Si les discours nationalistes belliqueux occupent une large part dans les discours publics, d’autres, fondés sur de nouveaux espoirs, tentent de trouver une façon de vivre ensemble dans le respect des différences. En effet, la chute des grands empires Austro-Hongrois et Ottoman permettant à une dizaine de « petites » nations de faire aboutir leur rêve d’indépendance, ainsi que la création de la Société des Nations en 1920 s’inscrivent dans ce dessein. Idéaliste ou utopique, cet internationalisme des années 20, bien que s’appuyant sur l’esprit des Lumières, en redéfinit l’objet: plutôt qu’un idéal de citoyenneté universelle, on fait l’éloge des particularités. La création de la Cité Universitaire Internationale en 1925 est ainsi fondée sur cette croyance que la lutte « [efficace] contre le grand danger qui menace la civilisation [est] la méconnaissance mutuelle des divers peuples » (1). Dans cet esprit, en 1921, le Rotary International décide d’ajouter un sixième objectif à son association d’hommes d’affaires américains pour « encourager et favoriser l’avancement de la compréhension mutuelle, la bonne volonté et la paix internationale à travers une camaraderie mondiale d’hommes d’affaires, unifiés dans l’objectif du service» (2). Ce goût pour ce que d’aucuns qualifieraient aujourd’hui de « multiculturel » s’accompagne souvent d’une fascination ambivalente. La mode de l’exotisme et des peuples colonisés, le retour au folklore, l’intérêt pour la mythologie, les langues primitives ou pour les peuples ancestraux sont autant d’objets de curiosité pour cette époque, et les évocations telles que l’âme juive, le génie français, l’esprit anglais ponctuent tant le discours populaire que les études littéraires et scientifiques. Toutefois l’hypothèse d’un déterminisme racial sous-jacent au développement de la personnalité d’un individu reflète clairement la manière dont ces « autres », bien que dépeints avec emphase, sont maintenus à distance de la société. En témoigne le succès de Joséphine Baker à Paris dans les années 20. Son accueil chaleureux repose alors essentiellement sur son incarnation de « la noire » (3) et/ou de « l’indigène » exotique, plutôt que sur un idéal d’intégration et d’assimilation . Ce type de représentation se retrouve également dans les discours de ceux qui explorent les enjeux identitaires de leurs propres groupes d’appartenance. Citons, par exemple, une vogue parmi les écrivains juifs en France comme aux Etats-Unis pour le thème de l’échec du « mariage mixte» en raison des différences essentialistes et donc incontournables entre époux. (4)
Ce genre de représentations essentialistes, fondées sur des conceptions biologiques, voire raciales, de caractéristiques humaines a connu, à son tour, un bouleversement majeur en raison du traumatisme lié à la Shoah. Ces notions étant associées aux pratiques de discrimination, voire d’extermination, il est, à l’heure actuelle, souvent difficile de les reprendre et de les analyser dans leur contexte historique.

Aussi cette journée d’études souhaite rassembler des contributions mettant en lumière la particularité de l’entre-deux-guerres, et plus particulièrement celle des années 20, en se centrant sur ces discours essentialistes visant les langues et les peuples et leur diversité. Plusieurs questions méritent selon nous d’être abordées :
  • Quelles sont les influences des contextes historiques et politiques nationaux sur ces types de discours ?
  • Quelles étaient les idéologies sous-tendant ces discours ? Quelles en étaient les stratégies et visées politiques recherchées ?
  • De quelle façon étaient exprimées les particularités du groupe d’appartenance et celui de l’autre, de l’étranger ?
  • Quels étaient les débats, voire les différends, parmi les opposants à ces discours essentialistes ?
  • Quelles frontières pouvons-nous dégager entre le relativisme culturel, le romantisme, l’essentialisme, l’exotisme, et le racisme, à l’époque des années folles ? Que sont-elles devenues à l’heure actuelle ?

Face au carrefour disciplinaire qu’ouvrent de tels questionnements il semble indispensable de travailler non seulement à partir de différents corpus (presse, littérature, ou discours politiques et scientifiques de l’époque tant en biologie, anthropologie, histoire, ou philologie) mais également avec différentes disciplines. Dans cette perspective nous souhaiterions ainsi pouvoir accueillir des chercheurs tant linguistes, que littéraires, historiens, anthropologues ou philosophes.

Les propositions de communication devront parvenir par courriel au plus tard le 1er mai 2013 à cecile.mathieu(a)u-picardie.fr,malinovich(a)gmail.com

Equipe organisatrice : Nadia Malinovich et Cécile Mathieu

(1) Paroles proférées par l’un des fondateurs de la Cité Universitaire Internationale, Emile Deutsch de la Meurthe. Cité dans Fabienne Chevallier, Sortie de guerre et enjeux urbains: histoire de deux projets parisiens (1919- 1939), Politique, culture, société, revue électronique du Centre d’histoire de Sciences Po, no. 3 (novembre- décembre 2007)(2) Cité dans Emily S. Rosenberg, Spreading the American Dream: American Economic and Cultural Expansion 1890-1945 (New York: Hill and Wang, 1982), p. 111.(3)Elizabeth Ezra, The Colonial Unconscious : Race and Culture in Interwar France (Ithaca : Cornell University Press, 2000), chapitre 4.(4) Nadia Malinovich, Race and the construction of Jewish identity in French and American Jewish fiction of the 1920s, in Jewish History (2005) 19, pp. 29-48.

ONE DAY CONFERENCE
Friday OCTOBRE 18, 2013
Romanticizing Difference: Identities in Transformation after World War I
organised by :

Le CERCLL-LESCLAP (Linguistique et Sociolinguistique: Contacts, Lexiques, Appropriations, Politiques) et le laboratoire CORPUS (Conflits, représentations et dialogues dans l’univers anglo-saxon)
UNIVERSITE DE PICARDIE – JULES VERNE

The First World War overturned existing system of beliefs and values in the Western World, highlighting a growing cultural malaise. While belligerent nationalist discourses were undeniably prominent during this period, other discourses, rooted in new hopes and dreams, were rooted in the desire to promote both mutual coexistence and a respect for difference. The fall of the Austro-Hungarian and Ottoman Empires permitted a dozen small nations to make their dream of self-determination come true, and the creation of the Society of Nations in 1920 was a part of this dream of international cooperation and harmony within a nationalist framework. Idealistic or utopian, this internationalism of the 1920s, while certainly drawing from Enlightenment ideals, re-oriented that ideology. Rather than an ideal of universal citizenship, many progressive thinkers now celebrated national and ethnic particularisms. The founders of the Cité Universitaire Internationale in 1925, for example, saw their project as part of a larger "struggle against the great danger that threatens civilization: people’s lack of understanding of one another" (5). In this spirit, in 1921, the Rotary International, a professional businessmen’s club, decided to add a sixth objective to its association: "To encourage and foster the advancement of understanding, good will and international peace through a world fellowship of business and professional men, united in the ideal of service" (6).

This taste for what one might qualify today as "multiculturalism" was often accompanied by an ambivalent kind of fascination. A renewed interest in folklore and mythology, primitive languages and ancestral peoples was characteristic of this period, and were exotic representations of colonialized peoples. Romantic references such as "the Jewish soul", "the French genius" or "the English spirit" were prevalent in popular discourse as well as in literary and scientific scholarship. While these representations were often positive in intention, they were strongly informed by the notion that an underlying racial determinism inevitably influences individual human personalities. These differences, in turn, could easily serve to create "exotic others" incapable of integrating into mainstream society. For example, Josephine Baker owed her success in Paris in the 1920s to her representations of "the negress" and or the "exotic native", who ultimately proved incapable of assimilation (7). We also find this type of representation in the discourses of individuals involved in identity politics within their own groups. In both France and the United States for example, Jewish fiction writers of the 1920s often used the trope of the failed intermarriage to invoke the idea of Jewish racial unity as a non-rational, uncontrollable force separating Jews from mainstream society, irrespective of their desire for integration. (8)
This kind of essentialist representation, which was rooted in a biological, racialized understanding of human nature, was discredited after the Shoah. Because these kinds of ideas are now strongly associated with practices of discrimination, and even extermination, it is difficult, from a contemporary standpoint, to analyze them in historical context.

This one-day conference will gather together scholars whose work highlights these essentialist discourses about languages and people and human diversity during the interwar years, and especially the 1920s. These issues can be approached from a variety of different angles.
  • How did particular political and historical contexts shape essentialist discourses of the interwar years?
  • What were the underlying ideologies behind these discourses? What were the political strategies behind them?
  • How did essentialist representations of one’s « own » group of belonging differ from essentialist representations of « the other »?
  • What were the debates and disagreements among contemporaries engaged in these kinds of essentialist discourses?
  • What borders can we delineate between cultural relativism, romanticism, essentialism, exoticism, and racism, in the interwar years? What borders can we delineate between them in the contemporary context?

We envisage a multi-disciplinary conference that will incorporate both a variety of sources, including the press, literature, and political and scientific discourses of the day-- biology, anthropology, history and philology—as well as scholars from diverse disciplines. We thus seek contributions from linguistics, literary scholars, historians, anthropologists and philosophers.

Please send proposals to cecile.mathieu(a)u-picardie.fr; malinovich(a)gmail.com by May 1, 2013.

Equipe organisatrice : Nadia Malinovich et Cécile Mathieu
(5) These were the words of one of the founders of the Cité Universitaire Internationale, Emile Deutsch de la Meurthe. Cité dans Fabienne Chevallier, Sortie de guerre et enjeux urbains: histoire de deux projets parisiens (1919-1939), Politique, culture, société, (electronic review) Centre d’histoire de Sciences Po, no. 3 (novembre- décembre 2007)(6) Cited in Emily S. Rosenberg, Spreading the American Dream: American Economic and Cultural Expansion 1890-1945 (New York: Hill and Wang, 1982), p. 111.(7) Elizabeth Ezra, The Colonial Unconscious : Race and Culture in Interwar France (Ithaca : Cornell University Press, 2000), chapter 4.(8) Nadia Malinovich, Race and the construction of Jewish identity in French and American Jewish fiction of the 1920s, in Jewish History (2005) 19, pp. 29-48.

jeudi 28 février 2013

Florence Binard / célibat féminin et eugénisme


La prochaine séance du GRER aura lieu demain vendredi 1er mars. Nous pourrons entendre Florence Binard, Maître de conférences à l'université Paris Diderot. Son intervention s'intitule :
 
Des femmes en surplus ? Célibat féminin et eugénisme en Grande-Bretagne

Au plaisir de vous y retrouver.

jeudi 21 février 2013

Penser et gérer la diversité


Vient de paraître :
Bernard CROS, Marie-Annick MATTIOLI, Michel PRUM et Thierry VIRCOULON

Penser et gérer la diversité en société : regards sur l'Afrique
L'Harmattan, collection "Racisme et Eugénisme", 179 pages
ISBN : 978-2-343-00187-6

Sommaire
Introduction (Bernard Cros, Marie-Annick Mattioli, Michel Prum et Thierry Vircoulon)
Une approche diverse de la diversité (Michel Prum)
Pourquoi il convient de penser la/les diversité/s et les outils pour y parvenir (Danielle de Lame)
Entre discours d'unité nationale et pratiques communautaires : analyse de la gestion de la diversité dans le Nigéria postcolonial (Joseph Egwurube)
La langue, facteur de cohésion et d'intégration nationales au Kenya (Stephen Omondi Owino)
Les cultures des minorités diasporiques : la construction sociale des identités des femmes entrepreneures afro-asiatiques en Ouganda (Julius Kikooma)
De l'apartheid à « l'union dans la diversité » : regard sur la gestion politique et sociale d'une nation plurielle à travers le cas des métis du Cap (Cécile Perrot)
« Où la médiocrité est tolérée » : Rugby à VII et gestion de la diversité dans le rugby sud-africain (Bernard Cros)
Diversité des cartes d'identité sur le sol britannique ou comment le projet d'une carte d'identité en 2002-2010 s'est peu à peu transformé en carte pour étrangers (Marie-Annick Mattioli)

dimanche 17 février 2013

Bernard Cros / Afrique du Sud

La prochaine séance du GRER aura lieu vendredi prochain 22 février. Nous pourrons entendre Bernard Cros, Maître de conférences à l'université Paris Ouest Nanterre la Défense, qui interviendra sur :
“They are doubting me.” Race, sexe et genre dans le sport : le cas de l’athlète sud-africaine Caster Semenya

Au plaisir de vous retrouver vendredi.

mercredi 6 février 2013

Martine Piquet / métis Australie

Notre prochaine séance aura lieu ce vendredi 8 février. Nous pourrons entendre Martine Piquet, Professeure à l'université Paris Dauphine, qui interviendra sur :

Les métis aborigènes-asiatiques en Australie

Au plaisir de vous retrouver vendredi.

mardi 22 janvier 2013

Michel Prum / Darwin / Emission radio

Ecoutez Michel Prum lors de son intervention sur Fréquence protestante samedi dernier 21 janvier à 20h, sur la race et sur Darwin.
Podcastable et écoutable en streaming en cliquant ici !

Céline Planchou / Indiens

La prochaine séance du GRER aura lieu ce vendredi 25 janvier. Nous pourrons entendre Céline Planchou (docteure de l'université Paris Diderot), qui interviendra sur :

"Indiens", membres tribaux et citoyens américains : le statut multiple des enfants autochtones aux États-Unis à travers le prisme de la protection de l'enfance

Au plaisir de vous retrouver vendredi.

mardi 8 janvier 2013

Marie-Claude Barbier / Stanley

Excellente nouvelle année à toutes et tous !
Le GRER commence 2013 vendredi prochain 11 janvier avec l'intervention de Marie-Claude Barbier, Maître de conférences honoraire à l'ENS de Cachan. Sa communication s'intitule :
Mr Stanley, I presume?
Au plaisir de vous retrouver vendredi.